Archives et événements passés

Voici quelques comptes-rendus, témoignages, résumés, photos, récits… d’événements passés. Quelques aperçus de nos bons souvenirs ensemble!

  • En ces temps de lutte contre la propagation du covid-19, plusieurs pétitions circulent pour exiger la mise à l’abri des plus vulnérables et la libération des détenu.es des centres de rétention :
  • Parce que pour pouvoir rester chez soi, il faut avoir un chez-soi, nous demandons des moyens pour accroître les capacités d’hébergement d’urgence et la réquisition de logements pour permettre aux personnes sans domicile d’être à l’abri. À défaut de l’avoir fait plus tôt, que les pouvoirs publics le fassent maintenant et évitent ainsi une contamination massive d’un public fragilisé par la rue et la précarité. https://www.change.org/p/le-gouvernement-mais-pour-rester-chez-soi-il-faut-un-chez-soie
  • Les centres de rétention administrative, où sont emprisonnées les personnes migrantes avant leur expulsion du territoire français, font courir des risques sanitaires majeurs aux détenu.es. Nous demandions déjà leur fermeture d’habitude, mais en ce moment où les expulsions sont suspendues puisque les frontières sont fermées, ils ont encore moins de raison d’être. En ce moment où nous luttons contre la propagation du covid-19, nous exigeons plus que jamais la fermeture des CRA et la libération des personnes emprisonnées. Les conditions d’hygiène et de santé y sont déjà catastrophiques en temps normal, l’accès aux soins est rarement assuré, les moyens manquent pour à peu près tout, les détenu.es dorment à un grand nombre dans des espaces confinés et prévus pour beaucoup moins de monde, les personnes détenues sont fragilisées par des parcours le plus souvent difficiles et beaucoup ont déjà des problèmes de santé. Leur enfermement leur fait courir de grands risques pour leur santé et leur vie et risque de contribuer à l’engorgement des hôpitaux et services de santé. Vous pouvez signer la pétition ici : http://chng.it/qdgNPnZSNd

Nous vous avions proposé de vous joindre à nous pour soutenir Cédric Herrou lors de son énième procès, à Lyon, en mars. Voici un compte-rendu de ce procès, écrit par un ami de Cédric, donc subjectif et bien renseigné : https://blogs.mediapart.fr/macko-dragan/blog/050420/avec-cedric-herrou-et-emmaues-roya-tous-delinquants-et-hors-la-loi Nous apportons tout notre soutien à Cédric, à Emmaüs Roya et à tou.tes les solidaires, des Alpes et d’ailleurs. C’est absurde de devoir le répéter, mais l’humanité n’est pas un crime. Salut et fraternité, forza à vous !

Soutien aux occupations et aux squats de l’agglomération lyonnaise. Petit rappel : De très nombreuses personnes dorment à la rue, dans des recoins, sous des bâches… y compris des enfants et des personnes fragiles. La Préfecture du Rhône et l’État français sont hors la loi chaque fois qu’ils ne mettent pas à l’abri les mineur.es isolé.es et les personnes en demande d’asile, comme ils en ont pourtant l’obligation. Pour assurer un toit à ces personnes, plusieurs mobilisations tiennent bon dans la Métropole de Lyon et ailleurs : Nous saluons les actions d’occupations menées par Jamais Sans Toit, qui ont permis de loger de nombreuses familles. Un squat a ouvert récemment à Feyzin, dans un bâtiment inutilisé appartenant à Total. En plein centre de Lyon, l’Espace Communal de la Guillotière, bâtiment squatté depuis deux mois, permet de loger des personnes en demande d’asile. La Mairie a déposé un arrêté administratif pour en interdire l’accès. Une pétition a été rédigée pour soutenir ce lieu et les solidarités concrètes de la Guillotière : http://chng.it/84DtZFMs

Une pétition pour soutenir les jeunes de la Croix Rousse et obtenir des conditions de vie dignes : https://www.change.org/p/la-m%C3%A9tropole-de-lyon-jeunes-migrants-en-danger-%C3%A0-la-croix-rousse?utm_content=cl_sharecopy_18932003_fr-FR%3Av2&recruiter=391707132&recruited_by_id=0647f880-6358-11e5-9a97-5febd905f1e0&utm_source=share_petition&utm_medium=copylink&utm_campaign=psf_combo_share_initial&share_bandit_exp=initial-18932003-fr-FR&share_bandit_var=v1

Les assemblées des États Généraux des Migrations (https://eg-migrations.org/) mènent en ce moment une campagne pour que les futur.es élu.es à l’échelon municipal s’engagent à des politiques d’accueil des personnes migrantes et réfugiées. Voici toutes les informations et le matériel pour exiger de vos candidat.es aux élections municipales qu’ils et elles s’engagent et le fassent savoir : https://eg-migrations.org/Municipales-2020-je-m-engage-et-je-le-fais-savoir

Pour contrer la propagation du covid-19, tous nos ateliers sont annulés pour l’instant. Prenez soin de vous et des autres, restez chez vous, on se retrouvera après !

Les ateliers ont repris !

Nous vous proposons :

L’atelier yoga, avec Nathalie, notre prof de yoga professionnelle et préférée. C’est toujours au Centre Social Bonnefoi, c’est toujours gratuit (mais il faut adhérer au Centre Social ou à Terre d’Ancrages) et c’est toujours un lundi sur deux, désormais de 18h à 19h30. Prochains rendez-vous : ? 6 avril, 20 avril, 11 mai, 25 mai, 8 juin et 22 juin. À votre place, je viendrais.

L’équipe des ateliers relance les ateliers dessins, proposés par Györgyi. Ils auront lieu au Centre Social Bonnefoi, les mardi 18 février, mardi 10 mars, mardi 24 mars, mardi 7 avril et mardi 21 avril, de 17h30-19h.

Un nouvel atelier fait son apparition : il s’agit de chanter ! Ce n’est pas Terre d’Ancrages qui l’organise, mais Manon, l’animatrice, nous invite gentiment à son atelier de chant libérateur, ouvert à absolument tout-le-monde et gratuit. Ça se passe le mercredi de 18h à 22h, à la Boulangerie du Prado (Lyon 7ème) et ça se finit par un repas partagé. Que des bonnes raisons de venir !

Terre d’Ancrages vous propose de participer au projet Afriquarks, un défilé de danse et de musique qui s’inscrira dans la Biennale de la danse, en septembre 2020. Plus d’informations ici : http://www.antiquarks.org/defile2020/ Pour participer, il suffit de s’inscrire (ici : https://framadate.org/YCMzVMJqRci54UPh) et de venir aux prochaines répétitions : les lundi 17 février, 2 mars, 16 mars, 23 mars, 6 avril, 4 mai, 25 mai et 1er juin, de 18h à 20h ou de 20h à 22h, à l’Espace 101, 101 boulevard des Etats-Unis, Lyon 8ème. Il y aura des répétitions générales et des rassemblement danse et musique le 21 mars, le 13 mai, le 27 juin et en septembre. Attention, ça demande un vrai engagement sur la durée. Mais ça va être un magnifique spectacle, donc ça vaut le coup ! Il y aura aussi des ateliers musique, couture pour les costumes et construction d’un char pour le défilé, on vous tiendra au courant.

Terre d’Ancrages exprime son soutien à Chantal, militante du Réseau Éducation Sans Frontière, condamnée pour avoir inscrit un jeune homme mineur à l’école. Pétition ici : https://www.change.org/p/soutien-%C3%A0-chantal-de-resf84-contre-l-ase-qui-l-accuse-d-avoir-scolaris%C3%A9-un-jeune-en-d%C3%A9tresse De manière générale, Terre d’Ancrages exprime sa solidarité avec toutes les initiatives d’accueil, de mise à l’abri, de scolarisation… et son soutien aux délinquant.es solidaires.

Terre d’Ancrages exprime son soutien aux prisonnier.es et aux grévistes de la faim du Centre de Rétention de Saint Exupéry. Pour la fin de l’enfermement des étranger.es, le respect des droits humains et la fermeture des CRA.

Mobilisation pour l’abrogation du règlement Dublin III, qui empêche aux personnes cherchant refuge de choisir le pays de leur demande d’accueil. Parce que ce règlement nuit gravement au droit d’asile, nie la solidarité entre les États et entre les peuples, est coûteux, absurde, inefficace, nuit à la santé des demandeurs et demandeuses d’asile et rend plus difficile l’intégration dans une société. Pour en savoir plus, c’est ici

Un texte sur la situation au Collège Maurice Scève, qui accueille de jeunes hommes depuis quelques mois, rédigé par un membre du collectif de soutien :

Après quatre mois d’occupation de l’ancien collège Maurice Scève à la Croix Rousse par plus de 150 jeunes migrants, si les conditions de vie s’améliorent un petit peu, grâce surtout à l’auto-organisation des habitants, à la solidarité du voisinage et du collectif de soutien à ces jeunes mineurs isolés qui dormaient dehors dans les pentes cet été, cela reste très précaire dans le froid de l’hiver.

Si, après trois mois de sollicitations, la Métropole de Lyon a enfin installé des chauffages électriques dans un bâtiment sur trois cette semaine et a livré 9 douches (chaudes, enfin !) et WC, nous estimons que l’on est loin du compte alors que cette institution a l’obligation légale de prendre en charge les jeunes mineurs isolés et leur assurer une vie digne.

Parce que certains de ces jeunes attendent depuis des mois cette prise en charge.
Parce que les délais sont les mêmes pour les scolariser.
Parce que les soutiens en ont marre de voir la Métropole trainer continuellement des pieds et se reposer sur eux pour faire leur boulot à pas cher.
Parce qu’il faut que cesse cette immense gâchis d’une jeunesse qui ne demande qu’à étudier, se former, travailler et que l’institution, au mépris de la loi et de la déclaration des droits de l’enfant, abandonne à son sort dans des conditions indignes.
Parce que David Kimelfeld, notre maire du 4ème et président de la Métropole, qui a beau jeu de se présenter comme plus humain que son célèbre et sinistre prédécesseur, nous a fait savoir ce matin qu’il ne ferait pas mieux qu’une douche pour 20 personnes, ni ne ferait de travaux supplémentaires pour assurer le chauffage et l’eau chaude dans les deux autres bâtiments qui servent de refuge.
Parce que ces jeunes forcent l’admiration par leur courage, par leur capacité à s’organiser pour gérer le lieu, par le périple effrayant qu’ils ont entrepris pour devenir nos voisins de quartier.
Parce que ce matin, en sortant de la mairie, Mouhamed, nous a dit ce qui suit, citant le roman qu’il écrit :
Nous avons appris à voler dans le ciel comme les oiseaux,
nous avons appris à nager dans les océans comme les poissons,
mais nous ne savons toujours pas marcher sur cette terre comme des frères.

SOUTIEN AUX SQUATS :

  • Le soutien alimentaire : notre partenariat avec l’association de l’ENS EnvertS nous permet de récupérer, chaque mardi soir, d’importantes quantités de légumes bios, fruits, fromages et pain frais que nous allons livrer dans un squat. De plus, la collecte organisée à l’ENS et à la Maison des Étudiants nous a permis de rassembler de nombreux produits (nourriture, couvertures, vaisselle, produits d’hygiène…) que nous répartissons entre les différents squats selon leurs besoins. De façon plus ponctuelle, nous avons aussi pu récupérer d’importantes quantités de fruits et légumes par le biais de l’association Récup&Gamelles, ou encore des plats tout préparés par le Club’ouf de l’ENS de Lyon.
  • Le soutien scolaire au squat de la Croix Rousse : nous organisons des séances de soutien scolaire en groupe ou en suivi individuel pour des enfants et adolescents. Cela peut aussi prendre la forme de discussions sur des sujets et matières variées, pour celleux qui ont suivi des études supérieures mais ont dû les abandonner à leur arrivée en France. Nous allons aussi pouvoir récupérer de nombreux livres grâce aux dons de la bibliothèque municipale de Part-Dieu.
  • Nous mettons aussi en contact les personnes migrantes des squats avec les branches « ateliers », « sorties » et « événements festifs ».

  • Nous avons rejoint un mouvement de soutien à Clavières, où un important squat a été expulsé le 10 octobre dernier.

    La branche Soutien aux squats ne pousse que grâce aux bénévoles : n’hésitez-pas à vous manifester si vous voulez donner un petit coup de main ponctuel, un gros coup de main régulier ou si vous avez des suggestion

Un beau week-end à la montagne pour l’équipe d’aventurier.es la plus chaleureuse que la Savoie ait connue!

Ballade dans les Monts du Lyonnais et récolte miraculeuse de châtaignes. Une sortie bucolique et un peu sportive!

Quelques photos des maraudes et collectes :

Petit point sur la situation lyonnaise

A Lyon, la situation en termes d’hébergement pour les sans-papiers et demandeur-euses d’asile est terrible. Son attractivité comme grande ville pleine d’opportunités et sa proximité avec la frontière italienne en font une de villes où se concentrent le plus de personnes migrantes en France ; par ailleurs, la région Auvergne-Rhône Alpes est celle où le plus de personnes ont été relocalisées suite au démantèlement de la jungle de Calais, fin 2016. Or, les structures d’accueil officielles à Lyon sont saturées : ainsi, alors que la loi prévoit un dispositif d’accueil, nombreuses sont les personnes en demande d’asile qui n’ont pas accès à une place en Centre d’Accueil pour Demandeurs d’Asile (CADA). De longues listes d’attente sont mises en place sur le critère de la vulnérabilité, prenant en priorité les familles, et ainsi les personnes seules ou jeunes peuvent attendre plusieurs mois avant d’avoir accès à un hébergement.

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La région Rhône-Alpes, une des principales régions de demandes d’asile, où la nécessité de créer des structures d’hébergement est une des plus brûlantes.

Par ailleurs, comme partout en France, les personnes dublinées (obligées de retourner dans un autre pays de l’Union Européenne) ou déboutées de l’asile (dont la demande a été refusée) se retrouvent à la rue et sans solution. A Lyon, ville de prédilection de Gérard Collomb, la répression envers les personnes clandestines est particulièrement féroce : fermetures de squats et d’hébergements informels même pendant la trêve hivernale, harcèlement des sans-abris en démantelant régulièrement les camps informels, arrestations systématiques par la police… Ces dispositifs visent à décourager les immigré-es de rester en France en les poussant à quitter le territoire par elles-mêmes. Ainsi, des centaines de personnes très vulnérables (dont des familles avec bébés, femmes enceintes, mineur.es isolé.es, personnes malades…), dans toutes les situations juridiques imaginables, se retrouvent à la rue, en plein hiver, sans aucune solution. En effet, les structures d’hébergement d’urgence sur critère sociaux, comme le 115, les CHRS, sont elles aussi saturées.

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Départ des albanais des archives départementales, suite au énième démantèlement de leur campement par les forces de l’ordre, (été 2017). Source : le Progrès

Face à cela, des mouvements citoyens se mobilisent : ouvertures de squats et hébergement solidaire chez les particuliers sont les principales solutions à la disposition des personnes qui, à Lyon, cherchent à pallier au manque de structures d’hébergement officielles, sans cesser de dénoncer l’indifférence des pouvoirs publics à cette question.

L’hébergement à Terre d’Ancrages

C’est ainsi que le réseau d’hébergement solidaire de Terre d’Ancrages est né à l’hiver 2016, organisé au départ sur le mode de l’urgence et de la mobilisation aléatoire de bonnes volontés, autour des personnes vulnérables rencontrées à la Croix-Rouge. Au total, 44 personnes ont pu être hébergées ainsi, temporairement, dans 25 foyers d’accueil, en attendant une situation plus durable.

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Dîner chez Alice, Ariane et Auriane, hébergeuses, à l’hiver 2016.

Fin 2017, Terre d’Ancrages a décidé de structurer le pôle hébergement pour mettre en place un système plus durable. L’association co-finance ainsi 3 colocations solidaires, permettant à trois personnes d’avoir une situation stable qui leur permet de s’intégrer réellement dans la ville de Lyon.

Par ailleurs, l’association a décidé de ne plus s’occuper des question d’hébergement d’urgence (sur des créneaux de 2-3 jours), préférant laisser ce soin à d’autres associations similaires à Lyon, notamment l’Ouvre-Porte, qui est mieux organisée dans ce domaine  (nous vous invitons à consulter leur blog sur ce lien).

Nous organisons l’accueil de personnes sur des périodes allant de quelques semaines à plusieurs mois, en alternance entre deux ou trois foyers d’hébergement (roulement toutes les deux semaines environ). Ce fonctionnement permet à la personne hébergée de bénéficier d’un semblant de stabilité, en connaissant bien ses hébergeur-euses et pouvant trouver ses marques au sein de foyers. Cette organisation permet également aux hébergeur-euses de pouvoir prendre des pauses régulièrement s’ils le souhaitent, et se reposer sur d’autres personnes accueillantes.

Souvent, quand une entente et une complicité se mettent en place entre les hébergeant-es et hébergé-es, les premiers décident de garder la personne chez elle en continu : leur cohabitation se fait alors sur le mode de la colocation solidaire, qui est le modèle que nous cherchons à encourager. En effet, outre la stabilité matérielle et psychologique qu’il offre aux personnes en situation très précaire, ce modèle permet aussi aux personnes migrantes de se créer un nid, de se sentir à l’aise, en ne les obligeant pas à constamment se réadapter à des environnements différents.

Nous considérons à Terre d’Ancrages que la chose la plus importante est la création de liens, parfois temporaires mais solides, entre les personnes de tous horizons : car en effet, beaucoup de personnes ayant accueilli des gens chez elles peuvent se sentir seules dans leur démarche quand elles ne sont pas soutenues par une association. C’est pourquoi nous insistons sur la dimension de réseau : apéros du pôle hébergement, mise en lien des hébergeurs entre eux, accompagnement des personnes hébergées par d’autres bénévoles de l’association, sont autant de moyens de se connaître personnellement les un-es les autres, et de nouer des liens individuels, qui nous enrichissent mutuellement. Ainsi, l’hébergement va de pair avec les autres activités de Terre d’Ancrages : le pôle « événements », le pôle « activité », proposent en effet des lieux et des occasions de faire des choses ensemble, diverses et festives.

Enfin, nous essayons de multiplier les contacts avec d’autres associations et collectifs lyonnais (Singa, la Cimade, RESF, l’Ouvre-porte, l’Appartage, le mouvement « Amphi C solidaire ») afin le petit réseau d’hébergement de Terre d’Ancrages soit inséré dans le grand tissu associatif et militant lyonnais : pour organiser la solidarité dans un tel contexte, la coopération est en effet indispensable !

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Apéro du pôle hébergement, janvier 2018

L’accueil de l’étape lyonnaise de la Marche solidaire, de la Roya à Calais, accueil dans le Parc de Gerland, co-organisé par Terre d’Ancrages et d’autres associations et collectifs. Une arrivée en fanfare!


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Et ci-dessous les articles relatant nos actions et activités la première année:

Semaine du 20 au 26 mars

Semaine du 13 au 19 mars

Semaine du 6 au 12 mars

Semaine du 27 février au 5 mars

Semaine du 20 au 26 février

Semaine du 13 au 19 février

Semaine du 6 au 12 février

TEMOIGNAGE : hébergement

Semaine du 30 janvier au 5 février

Semaine du 23 au 29 janvier

Semaine du 16 au 22 janvier

TEMOIGNAGE : Claire nous raconte la maraude du 11 janvier

Semaine du 9 au 15 janvier

Semaine du 2 au 8 janvier

Semaine du 26 décembre au 1er janvier

Samedi 17 décembre : maraude festive à Part Dieu

Semaine du 12 au 18 décembre

Evénement : le repas de Noël de Terre d’Ancrages

Semaine du 5 au 11 décembre

Semaine du 28 novembre au 4 décembre

Evénement : sortie au cirque Medrano

Semaine du 21 au 27 novembre

Semaine du 14 au 20 novembre

Novembre 2016 : les débuts de la mobilisation